Valérie Gaidy – Sōl Candle

Selon moi, ce qui définit en profondeur BGE ce sont ses conseillers qui s’investissent dans les projets et se rendent disponibles. Faire face à des personnes qui croient en son projet est essentiel et permet d’avancer sereinement.

Présentation

Après une carrière dans le milieu pharmaceutique, Valérie Gaidy a dû transformer son projet professionnel pour l’adapter à ses besoins physiologiques. Pour bénéficier d’un cadre de travail et d’horaires aménagés à ses contraintes, elle a sauté le pas de l’entrepreneuriat.

Valérie est aujourd’hui une femme épanouie en tant qu’artisane cirière au sein de son entreprise Sōl Candle implantée à Ussel en Corrèze. Ce virage, elle a pu le réaliser en partie grâce à ses proches et plus particulièrement à sa fille qui l’accompagne dans la création de ce projet.

Au sein de sa boutique, elle propose des bougies naturelles et rechargeables avec des ingrédients biologiques et français ou européens. Elle travaille en collaboration avec un parfumeur de Grasse et fabrique elle-même ses pots.

Interview entre Valérie Gaidy (VG) et Marie Fourgnaud, notre chargée de communication (MF)

MF : Quelles sont les impacts de l’entrepreneuriat sur votre vie ?

VG : Entreprendre a changé beaucoup de points de façon positive. Cela m’a permis de continuer à exercer une activité professionnelle malgré les différents problèmes que j’ai pu rencontrer. J’ai découvert un domaine d’activité qui me passionne. Et désormais, j’ai la possibilité d’adapter mes horaires et mes missions du jour en fonction de mon état. Je travaille chez moi depuis mon atelier ce qui est un plus pour passer de la production à l’administratif dans un même espace.

MF : Quels sont vos projets à venir concernant votre entreprise ?

VG : Il y a de nombreuses évolutions que je souhaite apporter à mon entreprise ! Tout d’abord, je vais finir de m’installer puis produire mes premières gammes d’environ 10 parfums avec leurs pots. Ensuite, je souhaite développer mon offre en proposant des bougies de saison en édition limitée. Par la suite, j’aimerais étoffer mes gammes et produire des fondants avec un brûleur fait maison.

MF : Qu’est-ce qui définit selon vous, l’accompagnement BGE dont vous avez bénéficié ?

VG : L’accompagnement BGE dont j’ai bénéficié m’a permis de construire de façon réaliste mon projet et de me tourner vers les bonnes personnes. Selon moi, ce qui définit en profondeur BGE ce sont ses conseillers qui s’investissent dans les projets et se rendent disponibles. Faire face à des personnes qui croient en son projet est essentiel et permet d’avancer sereinement. J’ai également participé à la formation « Succès garanti avec mon étude de marché » proposé par BGE ce qui a apporté beaucoup de réponses à mes questions et des compétences essentielles.

MF : Que conseilleriez-vous à une personne en situation de handicap qui souhaite entreprendre mais n’ose pas ?

VG : Je lui dirais que tout est possible dans la vie. Le handicap n’est pas un frein dans l’entrepreneuriat ! Pour entreprendre, il faut bien se faire accompagner et se tourner vers les bonnes structures. Je pense qu’avec de la volonté tout le monde peut y arriver. Il ne faut pas hésiter et y aller.